DIGNE DE LA ROYAUTE
DIGNES DE LA ROYAUTE
8 jours sans écrire sur ce blog...C'est rare mais ce fût pour la bonne cause c'est à dire la fin de l'écriture de mon second livre dont vous entendrez parler d'ici peu.
Nombre d'informations ont été importantes pendant 8 jours: les faillites en série dans le secteur bancaire aux USA et maintenant en Europe; l'annonce d'un déficit budgétaire supérieur à ce qui était prévu (et que j'avais prévu, vous pouvez vérifier); l'annonce d'une croissance pour 2009 en berne avec encore un endettement record pour le pays sans oublier le one woman show de Ségolène Royal à Bercy, sorte de mix entre les évangélistes américains et Anne Roumanoff!
Une information m'a surtout titillé l'esprit: l'appartement de200m2 rue Bonaparte alloué à vie à Christian Poncelet en tant qu'ancien président du Sénat.
On pourrait laisser faire si tout le monde vivait bien en France, que le pays n'avait pas de dettes, que la conjoncture économique était bonne et si on ne demandait sans cesse aux français de "faire des efforts". Le pire est que cet appartement a été descendu d'étage, avec le sur-coût que cela implique, parce que le chien de Mme Poncelet.....a le vertige! Cette nouvelle a été révélée la semaine dernière dans l'émission "les grandes gueules" par les auteurs d'un livre que j'ai acheté mais pas encore lu:"Le sénat, enquête sur les super-privilégiés de la république" de Yves Messarovitch et Robert Colonna d'Istria aux éditions du Rocher.
On croit rêver alors que le pays va subir un budget de super-austérité et que la crise mondiale risque de créer le chaos en France, les propos rassurants de Mme Lagarde sur le fait que les banques françaises ne seraient pas touchées par la crise rappelant ceux de Charles Pasqua décrétant que le nuage radioactif de Tchernobyl s'était arrêté à la frontière.
On est scandalisé quand on sait que Christian Poncelet perçoit déjà son indemnité de sénateur ainsi que celle de président du conseil général des Vosges, ce qui lui vaut environ 15000 euros par mois de revenus réels.
Le fait que de tels scandales perdurent ne peuvent qu'amplifier la fracture qui existe déjà entre les français et les politiques.
De tels privilèges sont, il est vrai, dignes de la royauté.
Philippe DAVID
8 jours sans écrire sur ce blog...C'est rare mais ce fût pour la bonne cause c'est à dire la fin de l'écriture de mon second livre dont vous entendrez parler d'ici peu.
Nombre d'informations ont été importantes pendant 8 jours: les faillites en série dans le secteur bancaire aux USA et maintenant en Europe; l'annonce d'un déficit budgétaire supérieur à ce qui était prévu (et que j'avais prévu, vous pouvez vérifier); l'annonce d'une croissance pour 2009 en berne avec encore un endettement record pour le pays sans oublier le one woman show de Ségolène Royal à Bercy, sorte de mix entre les évangélistes américains et Anne Roumanoff!
Une information m'a surtout titillé l'esprit: l'appartement de200m2 rue Bonaparte alloué à vie à Christian Poncelet en tant qu'ancien président du Sénat.
On pourrait laisser faire si tout le monde vivait bien en France, que le pays n'avait pas de dettes, que la conjoncture économique était bonne et si on ne demandait sans cesse aux français de "faire des efforts". Le pire est que cet appartement a été descendu d'étage, avec le sur-coût que cela implique, parce que le chien de Mme Poncelet.....a le vertige! Cette nouvelle a été révélée la semaine dernière dans l'émission "les grandes gueules" par les auteurs d'un livre que j'ai acheté mais pas encore lu:"Le sénat, enquête sur les super-privilégiés de la république" de Yves Messarovitch et Robert Colonna d'Istria aux éditions du Rocher.
On croit rêver alors que le pays va subir un budget de super-austérité et que la crise mondiale risque de créer le chaos en France, les propos rassurants de Mme Lagarde sur le fait que les banques françaises ne seraient pas touchées par la crise rappelant ceux de Charles Pasqua décrétant que le nuage radioactif de Tchernobyl s'était arrêté à la frontière.
On est scandalisé quand on sait que Christian Poncelet perçoit déjà son indemnité de sénateur ainsi que celle de président du conseil général des Vosges, ce qui lui vaut environ 15000 euros par mois de revenus réels.
Le fait que de tels scandales perdurent ne peuvent qu'amplifier la fracture qui existe déjà entre les français et les politiques.
De tels privilèges sont, il est vrai, dignes de la royauté.
Philippe DAVID